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Un jour, alors que Siméon se baladait paisiblement à travers la jungle, il tomba nez à nez avec une ombre sombre et sinistre diffusant sa haine et sa division. C’était le racisme lui-même. Mais Siméon n’était pas intimidé, au contraire, il sentait une détermination grandir en lui, une volonté d’agir et de mettre fin à cette injustice.
Siméon le regarda droit dans les yeux et dit d’une voix ferme : « Racisme, prépare-toi à ta chute. Tes idées toxiques ne trouveront plus refuge dans notre jungle. La révolution est en marche, et je serai ton pire cauchemar. » Pour y arriver, Siméon était armé d’un 44 bananum chargé de l’amour, l’acceptation et la compréhension.
Le racisme, répondit d’une voix empreinte de mépris : « Tu ne peux rien contre moi, Siméon. Je suis puissant et insidieux. »
Le regard de Siméon se fit plus intense, il répliqua d’une voix grave : « Tu es aussi prévisible qu’un vieux singe qui répète les mêmes vieux tours. Tu ne peux pas vaincre une armée d’amour et de compassion qui refuse de se taire. »
Le racisme, troublé par les paroles de Siméon, sentit une légère inquiétude l’envahir…
#WeAreAllMonkeys
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